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Le Conseil d’administration de l’AFSP a adopté jeudi 29 septembre 2022 une motion relative au « repyramidage » du corps enseignant de l’enseignement supérieur pour la discipline science politique.
Notre collègue Fariba Adelkhah est prisonnière scientifique en Iran depuis le 5 juin 2019. Elle est arbitrairement détenue dans la prison d’Evin. Ce 17 septembre 2022, cela fera 1200 jours qu’elle est prisonnière scientifique en Iran.
L’AFSP dénonce avec force le déclassement d’un candidat classé premier par ses pairs de la section 36 du CNRS. Le jury d’admission présidé par Antoine Petit, dont la composition n’a pas été rendue publique l’a rétrogradé au 8e rang. Notre association réaffirme son attachement au respect des classements opérés par les jurys d’admissibilité.
L’Association Française de Science Politique exprime sa totale solidarité avec nos collègues ukrainien.ne.s, ainsi qu’avec les étudiant.e.s et l’ensemble de la société ukrainienne, victimes de l’invasion du pays par les forces armées russes.
Communiqué de l’Association Française de Science Politique adopté par son Conseil d’administration le 3 février 2022.
L’Assemblée générale de l’AFSP a adopté jeudi 16 décembre 2021 une motion relative au maintien de l’avancement de grade au niveau national opéré par les sections du CNU et dont le ministère a annoncé la suppression dès 2023.
Suite à la motion de soutien à Nonna Mayer, ancienne présidente de l’AFSP et membre de son Conseil d’administration, adoptée par le CA du 16 mars 2021 citée par Libération du 19 mars et le Monde Magazine du 27 mars, veuillez trouver ci-dessous la déclaration officielle de l’American Political Science Association (APSA).
Le Conseil d’administration de l’Association Française de Science Politique réuni le 16 mars 2021 condamne vivement les attaques portées contre Nonna Mayer, présidente de l’AFSP de 2005 à 2016 et membre de son CA.
Le Conseil d’administration de l’Association Française de Science Politique réuni le 16 mars 2021 condamne avec la plus grande fermeté l’affichage du nom de deux enseignants de Sciences Po Grenoble accusés d’« islamophobie et de fascisme ». Comme cela a été rappelé dans la motion de son Conseil d’administration, cet affichage met en danger non seulement les deux enseignants cités, mais aussi l’ensemble des personnels et des étudiant.e.s de cet établissement, partenaire institutionnel de l’Association.
Ayşe Buğra, professeure émérite de l’Université de Boğaziçi, membre fondatrice du Réseau européen d’analyse des sociétés politiques, vient de faire l’objet d’attaques personnelles, qui valent menaces, par le président de la République de Turquie. Le REASOPO lance une campagne de soutien à l’échelle européenne en publiant un communiqué de presse le 7 février 2021, à relayer largement.