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Partenariats institutionnels

Les partenariats institutionnels de l’AFSP visent à déployer une alliance de recherche, un réseau collaboratif en science politique.

Adopté par le Conseil de l’association le 23 mai 2000, le principe d’une cotisation versée par des adhérents institutionnels a pour objet de permettre de répondre plus facilement aux besoins des instituts et laboratoires en région en matière de développement et de valorisation des activités de recherche.
Plus généralement, l’idée est d’associer étroitement aux activités de l’AFSP l’ensemble des instituts d’études politiques et les autres institutions participant au développement de la science politique en France. Il s’agit aussi pour l’association disciplinaire de déployer un nouveau répertoire d’activité : la valorisation au quotidien, par une communication dédiée, des manifestations et publications en science politique des membres de ce nouveau réseau collaboratif.
La valeur et la force de l’AFSP est indissociable de la diversité, du dynamisme et de l’investissement de ses partenaires. La notoriété de l’AFSP permet à ses membres et partenaires de soutenir et de valoriser la recherche française en science politique. Faire avancer la science politique française est un défi qui doit se gagner chaque jour avec le soutien de l’ensemble de la communauté des politistes.
Depuis la réforme de ses statuts votée lors de l’Assemblée Générale de Grenoble en 2009, les partenaires institutionnels de l’Association sont représentés par cinq membres au sein du Conseil d’administration de l’Association. Cette nouvelle disposition est entrée en vigueur au lendemain du renouvellement partiel du Conseil d’Administration du 27 mai 2010.
Les partenaires institutionnels sont enfin les interlocuteurs privilégiés de l’association pour l’expertise professionnelle dans les groupes thématiques de l’AFSP, l’organisation et le suivi des enquêtes et des mobilisations relatives à la défense de la discipline.

Toutes les actualités et informations scientifiques de nos partenaires sont diffusées quotidiennement en ligne via notre FIL INFO Twitter.

La Fondation nationale des sciences politiques (FNSP) est une fondation de droit privé, située à Paris, créée par ordonnance en 1945 pour recevoir le patrimoine de l’ancienne École libre des sciences politiques et assurer la gestion de l’Institut d’études politiques de Paris, fondé simultanément et avec lequel elle forme un ensemble nommé Sciences Po. Elle joue depuis soixante dix ans un rôle déterminant dans la constitution et la diffusion de la science politique en France.

http://www.sciencespo.fr/

Sciences Po est une université de recherche internationale, sélective, ouverte sur le monde, qui se place parmi les meilleures en sciences humaines et sociales.
La mission première de Sciences Po est de former des cadres dirigeants des secteurs public et privé, en France et dans le monde. Mais son ambition est plus grande encore : former des esprits libres, des citoyens éclairés capables de changer le monde, de transformer la société.
La dimension internationale de Sciences Po est présente dans ses textes fondateurs. Porté par cette vocation depuis près de 150 ans, Sciences Po s’impose aujourd’hui comme une université de rang mondial : des diplômes et une recherche reconnus à l’international, une communauté multiculturelle, un réseau de partenaires présents dans tous les pays.
A Sciences Po, le meilleur de la recherche en sciences sociales entretient un dialogue constant avec les meilleurs praticiens. Avec une communauté académique riche de plus de 200 chercheurs enseignants et 4000 chargés de cours, les connaissances que nous transmettons aux étudiants sont à la fois irriguées par la recherche et ancrées dans la réalité.
Sciences Po recrute ses étudiants sur des critères d’excellence. C’est néanmoins l’un des premiers établissements d’enseignement supérieur français à avoir assumé sa responsabilité sociale en recherchant la diversité intellectuelle, géographique et sociale de ses élèves. Ouverte à tous les talents, Sciences Po compte 27 % de boursiers et recrute ses élèves dans près de 150 pays.
Sciences Po est une université de recherche en sciences sociales reconnue à l’échelle mondiale pour la qualité de sa production scientifique. La recherche menée à Sciences Po se développe en lien étroit avec la société et enrichit le débat public.
Depuis sa création il y a près de 150 ans, Sciences Po n’a cessé de se réinventer. Aujourd’hui Sciences Po est plus que tout autre l’endroit où des idées nouvelles peuvent être lancées et mises en œuvre. Méthodes pédagogiques, enseignements d’ouverture, nouveaux outils : cette capacité à innover est l’une de nos marques de fabrique.

Sciences Po, c’est :
•    13 000 étudiants
•    7 campus
•    47 % d’étudiants internationaux
•    150 pays représentés
•    27 % de boursiers
•    200 chercheurs enseignants
•    470 universités partenaires
•    43 doubles diplômes
•    400 événements par an
•    65 000 alumni

L’objectif de Sciences Po est de délivrer une formation intellectuelle ancrée dans cinq disciplines des sciences sociales : économie, droit, histoire, sociologie, science politique. Avec pour particularité l’approche pluridisciplinaire, et pour finalité la capacité des élèves à mettre en perspective et analyser la complexité. Une qualité indispensable pour évoluer dans des environnements en mouvement constant.
A Sciences Po, pas d’opposition entre savoir académique et professionnalisation, entre culture générale et sens de l’action. Les élèves sont orientés vers la prise de responsabilités, grâce aux enseignements de plus de 4000 praticiens venus du monde professionnel (cadres d’entreprise, hauts fonctionnaires français et internationaux…), et aux stages qui jalonnent le parcours. Grâce à la spécialisation choisie au niveau master, les jeunes professionnels qui sortent aujourd’hui de Sciences Po sont opérationnels dans un large éventail de métiers.
Apprendre à travailler le plus tôt possible avec des étudiants de cultures différentes et dans des langues différentes. Élargir son horizon par l’expérience d’une année à l’étranger. Étudier tous les sujets à l’échelle de l’Europe et du monde. A Sciences Po, l’international irrigue toutes les dimensions de la vie académique et étudiante.
Dépasser les frontières entre les disciplines, c’est aussi introduire de nouvelles perspectives : celles des arts et des sciences « dures » font partie intégrante de l’expérience intellectuelle à Sciences Po.
Afin de se préparer à un exercice professionnel désormais soumis à des mutations constantes, la formation reçue à Sciences Po vise le déploiement de qualités précises : la curiosité et l’agilité intellectuelles, l’aptitude à l’expression écrite et orale et la capacité d’adaptation.
Á Sciences Po, transmission du savoir et acquisition d’un savoir-être sont indissociables. La curiosité intellectuelle, l’esprit critique et la capacité à se remettre en question : telles sont les aptitudes et les attitudes qui se forgent tout au long du parcours. Des qualités sollicitées sans cesse par le travail en équipe, l’exercice de l’exposé, les cours en petits groupes, les débats et les engagements associatifs.

À Sciences Po, plus de 220 chercheurs-enseignants en sciences humaines et sociales étudient les transformations du monde contemporain et leurs enjeux.
Les travaux de ces chercheurs se développent autour de grands domaines comme la santé publique, l’éducation, le développement urbain, la sécurité, l’environnement ou la démocratie, dans toutes les régions du globe.
Leurs recherches font progresser les réflexions et les connaissances dans cinq grandes disciplines :
•    le droit et notamment le droit privé et le droit international ;
•    l’économie, sur des questions telles que les échanges internationaux, les politiques monétaires, les marchés du travail ou l’innovation ;
•    l’histoire, et en particulier l’histoire politique et celle des conflits, l’histoire globale et l’histoire des savoirs et des cultures ;
•    la science politique dans toutes ses composantes : étude des comportements électoraux, relations internationales, aires culturelles et politiques comparées, théorie politique, politiques publiques et administration ;
•    la sociologie, et spécialement la sociologie des organisations, la sociologie économique, et la sociologie de la stratification sociale.
Les recherches menées à Sciences Po, toujours en prise avec les grands défis sociétaux, alimentent et enrichissent les débats publics.
Elles s’inscrivent simultanément dans des problématiques fondamentales, comme en témoigne le succès de nos équipes auprès de grandes agences de financement telles que le European Research Council ou l’Agence Nationale de la Recherche.
La recherche à Sciences Po se caractérise par la maîtrise d’une vaste palette d’approches : de l’ethnographie aux méthodes économétriques les plus sophistiquées.
Grâce aux apports méthodologiques du médialab et aux outils d’enquête développés par le programme DIME-SHS (Données Infrastructures et Méthodes d’Enquête en Sciences Humaines et Sociales), nos chercheurs intègrent pleinement à leurs travaux les nouvelles possibilités que le numérique apporte à la recherche en sciences humaines et sociales.
La recherche à Sciences Po c’est :
•    5 disciplines
•    220 chercheurs-enseignants
•    350 doctorants
•    11 unités de recherche
•    35% du budget de Sciences Po
•    700 publications par an
Le dispositif de la recherche comprend :
•    sept centres associés au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) en tant qu’unités mixtes de recherche (UMR)
•    trois centres reconnus comme équipes d’accueil (EA) par le Ministère de l’éducation et de l’enseignement supérieur.
•    L’École doctorale assure la formation à la recherche et par la recherche des étudiants en master recherche et doctorat, en droit, économie, histoire, science politique et sociologie.

http://www.sciencespo.fr/structures-de-recherche

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Les Presses de Sciences Po, éditeur scientifique et universitaire de référence, répondent à une triple vocation : publier la recherche, éditer des ouvrages de référence à destination des étudiants et animer le débat public et politique. Une attention particulière est portée aux relations internationales, à la mondialisation, au développement durable, aux problématiques de gouvernance, aux mutations de la vie politique, aux évolutions des sociétés et des mentalités, à l’économie et à l’histoire du XXe siècle.

L’UFR de Science politique a été créée sous le nom de Département de Science politique de la Sorbonne en 1969, au sein de l’Université Paris 1, à l’initiative notamment de Maurice Duverger, Madeleine Grawitz, Léo Hamon, et Marcel Merle.
Elle constitue en France la seule institution universitaire exclusivement vouée à la promotion de cette discipline aussi bien par l’enseignement que par la recherche. Institutionnellement, l’UFR de Science politique contribue d’une part à la formation des étudiants qui suivent la filière Droit. A ce titre, elle participe à la coordination des UFR juridiques et politique et est associée au fonctionnement de l’UFR d’études juridiques générales, en charge du premier cycle. D’autre part, elle assure des enseignements qui sont suivis par des étudiants d’autres filières (économie, histoire, philosophie, gestion…).

https://www.univ-paris1.fr/ufr/ufr11/

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Le Centre européen de sociologie et de science politique de la Sorbonne (CESSP-Paris), UMR 8209 de l’Université Paris-Panthéon-Sorbonne, du CNRS, et de l’EHESS est né de la fusion du Centre de sociologie européenne (CSE) et du Centre de Recherches Politiques de la Sorbonne (CRPS).

Inscrit sous trois tutelles, l’Université Paris I, l’EHESS et le CNRS, le CESSP est une unité mixte de recherche en sciences sociales, associant principalement des sociologues et des politistes, mais aussi des anthropologues et des économistes.
Les membres du CESSP partagent, au-delà la diversité de leurs objets d’études (stratification, socialisation, intellectuels, médias, sociologie de la culture, production et diffusion des savoirs et des idéologies, élites sociales et politiques, processus de politisation, mobilisations, sociologie de la globalisation, etc.), un projet commun de déchiffrement du monde social attentif aux rapports sociaux de domination ainsi qu’aux dispositifs de pouvoir dans lesquels ils s’insèrent.
Le laboratoire est né de la fusion, en janvier 2010, du Centre de sociologie européenne de l’EHESS (CSE) et du Centre de recherches politiques de la Sorbonne (CRPS), qui sont devenues des équipes du CESSP. Le CRPS est installé à la Sorbonne, au sein du département de science politique de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ; le CSE est installé à l’EHESS ainsi que sur le site Pouchet du CNRS. Le laboratoire compte 56 membres permanents (12 chercheurs CNRS en activité, 8 chercheurs émérites, 30 enseignants-chercheurs, 6 personnels d’encadrement de la recherche). Il est laboratoire d’accueil pour 165 doctorants, 101 relevant de l’Ecole doctorale de science politique de l’Université Paris 1, 64 de l’Ecole doctorale de l’EHESS.

C’est par le décret du 27 mars 1956 qu’est créé l’Institut d’Etudes Politiques d’Aix-en-Provence, à l’initiative du Pr.Paul de Geouffre de la Pradelle. En 1969, l’Institut constituait une Unité d’Enseignement et de Recherche, érigée en établissement public à caractère scientifique et culturel, rattachée à l’Université Aix-Marseille III. En 1989, il devient établissement public à caractère administratif doté de la personnalité juridique. Depuis un demi-siècle, l’IEP a su évoluer dans un paysage complexe et fortement concurrentiel et mener ses étudiants vers des carrières de hauts fonctionnaires ou de cadres supérieurs dans les secteurs public ou privé.
Grande Ecole en Provence, Sciences Po Aix fait partie du réseau national des Instituts d’Etudes Politiques même si elle conserve bien sûr un certain nombre de particularités qui souligne la richesse de ses enseignements et de sa recherche : science politique comparative, expertise internationale, journalisme, communication, culture et religion, préparation aux concours les plus prestigieux… Le renforcement des liens avec les grands acteurs économiques a encore élargi les possibilités de débouchés professionnels qu’offre un diplôme particulièrement recherché par les employeurs.

http://www.sciencespo-aix.fr/

Partenaire des Congrès AFSP 1996 et 2015.

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Depuis 2008, le laboratoire CHERPA est le centre de recherche unique de Sciences Po Aix. Par tradition, les équipes d’enseignants-chercheurs (Professeurs des Universités, Maîtres de conférences, ATER) des IEP sont spécialisées dans différents domaines de la recherche s’intéressant aux institutions et aux affaires publiques : droit public, science politique, sciences économiques, histoire, sociologie… L’originalité de l’IEP d’Aix est d’avoir fait le pari de regrouper ses divers spécialistes de Sciences sociales dans une seule et même équipe de recherche. En 2015, avec 30 des enseignants-chercheurs de l’IEP, plus de 70 jeunes chercheurs engagés dans la réalisation d’une thèse à Sciences Po Aix et 32 chercheurs associés, ce sont près de 150 chercheurs qui font vivre au quotidien la vocation pluridisciplinaire du CHERPA.

Sciences Po Bordeaux est l’un des dix Instituts d’Études Politiques français. Il compte aujourd’hui plus de 2.000 élèves tous statuts confondus. L’établissement bordelais, une grande école située au cœur d’un site universitaire exceptionnel, le campus de Pessac-Talence-Gradignan à 20 minutes en tramway du centre de Bordeaux, bénéficie du cadre juridique particulier des Instituts d’Études Politiques. C’est un établissement public d’enseignement supérieur à caractère administratif doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Il est associé par convention à l’université de Bordeaux.
Identifié comme un pôle majeur de la recherche en science politique en France avec ses deux Unités Mixtes de Recherche (UMR) CNRS et FNSP associées, l’établissement bordelais s’affirme de plus en plus comme un grand institut dont la crédibilité se fonde à la fois sur une tradition désormais bien établie (enseignement pluridisciplinaire et participatif) et sur les outils les plus modernes (environnement numérique de travail et innovations pédagogiques).
Premier Institut d’Études Politiques pour son taux de boursiers (30%) et pour la proportion d’étudiants étrangers (plus de 25%), Sciences Po Bordeaux montre ainsi que la diversification sociale (programme « Sciences Po Bordeaux Je le peux parce que je le veux », labellisé « Cordée de la Réussite » dès 2008) et l’internationalisation (7 filières intégrées binationales et séjour universitaire dans le monde entier pour 95% des étudiants au cours de la deuxième année d’études) sont deux priorités essentielles dans la politique générale de l’établissement. La formation tout au long de la vie proposée par le service Formation continue de Sciences Po Bordeaux est également l’un des piliers de l’institution.

http://www.sciencespobordeaux.fr/

Partenaire du Congrès AFSP 1988

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Le caractère distinctif du Centre Émile Durkheim – Science politique et sociologie comparatives ne  procède pas de la concentration sur un objet unique ou de la délimitation d’un terrain d’étude exclusif, mais bien plutôt d’une façon originale de questionner des objets et des terrains multiples en privilégiant la méthode comparative.
La méthode comparative permet de consolider les énoncés et d’en préciser la portée. Les recherches menées au sein du laboratoire ne visent pas à accumuler des données descriptives dans un esprit monographique mais bien plutôt à tester ou à enrichir des hypothèses générales. Plusieurs recherches visent à étudier un même phénomène sur des terrains diversifiés, voire contrastés. Mais les travaux réalisés par les membres du Centre Émile-Durkheim – Science politique et sociologie comparatives permettent également de développer un questionnement sur les « croisements » qui s’opèrent entre les cas étudiés. Ils proposent enfin de comparer les traductions et les hybridations différenciées de dynamiques transnationales.
Sur cette base, cinq axes de recherche sont constitués :
IDENTIFICATIONS
VULNÉRABILITÉS, INÉGALITÉS, PARCOURS
SAVOIRS
LÉGITIMITÉS, ORGANISATIONS ET REPRÉSENTATIONS
SOCIOLOGIE(S) DE L’INTERNATIONAL

Les Afriques dans le monde (LAM), UMR 5115 du CNRS et de Sciences Po Bordeaux, est née le 1er janvier 2011 de la fusion entre le Centre d’étude d’Afrique noire (CEAN, Sciences Po Bordeaux) et le Centre d’études et de recherches sur les pays d’Afrique orientale (CREPAO, Université de Pau et des Pays de l’Adour, UPPA ), rejoints par des chercheurs et enseignants-chercheurs des universités Bordeaux Montaigne et Bordeaux Segalen. L’objectif est de contribuer à la constitution, sur le site universitaire bordelais et aquitain, d’un grand pôle de recherche et d’enseignement, pluridisciplinaire et interuniversitaire, sur les Afriques.

Créé en 1948, Sciences Po Grenoble appartient au réseau des dix Instituts d’études Politiques dans lequel il se distingue notamment par la qualité et le volume des activités de recherche du laboratoire CNRS PACTE, un des plus grands centres de recherche de sciences sociales de France, et l’importance stratégique de son centre de documentation qui constitue l’un des plus importants centres-ressources nationaux en science politique depuis les années soixante.
Sciences Po Grenoble peut se prévaloir d’une très forte internationalisation, tant au niveau des échanges d’étudiants que des enseignants-chercheurs. Plusieurs double-diplômes avec des universités internationales renommées ainsi que des formations installées à l’étranger (Rabat, Saint-Pétersbourg) assurent son rayonnement hors des frontières.
Soucieux de l’actualisation permanente de ses méthodes, Sciences Po Grenoble renforce aujourd’hui l’excellence scientifique internationale de sa recherche et perpétue une tradition d’innovation pédagogique notamment en investissant tant dans les projets numériques que dans le développement de la formation tout au long de la vie. Ce projet de développement s’accompagne d’une volonté de notre établissement de jouer pleinement son rôle dans la cité, à travers les différentes initiatives de son programme de « Responsabilité sociétale et citoyenne ».
Sciences Po Grenoble , c’est : 1800 inscrits en 2016, 230 étudiants de Sciences Po Grenoble en mobilité internationale par an (soit l’ensemble de la promotion de 2ème année), 230 étudiants internationaux accueillis à Sciences Po Grenoble (soit l’équivalent d’une promotion), 180 doctorants, 19 masters répartis en 4 thématiques, 77 enseignants-chercheurs ou chercheurs, 90 personnels administratifs, 360 intervenants extérieurs, 15 000 diplômés à Sciences Po Grenoble depuis sa création en 1948.

http://www.sciencespo-grenoble.fr/

Partenaire du Congrès AFSP 2009

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PACTE
 est une unité mixte de recherche en sciences sociales (UMR 5194) de la Communauté Université Grenoble Alpes. Ses tutelles sont le CNRS, l’Université Grenoble Alpes et Sciences Po Grenoble. Pacte est un laboratoire associé à la Fondation nationale des sciences politiques.
Pacte rassemble les politistes, les géographes et les urbanistes, ainsi que des sociologues du site grenoblois. Le laboratoire accueille aussi des économistes, des juristes et des historiens.
L’UMR réunit 122 chercheurs et enseignants-chercheurs permanents, 27 ingénieurs et techniciens, et 172 doctorants.

 

Fondé en 1991, Sciences Po Lille doit sa renommée à l’attractivité de ses formations, la qualité de ses enseignements, et la réussite professionnelle de ses élèves. Elle la doit aussi au rayonnement scientifique de ses enseignants-chercheurs, dont le métier est de conjuguer la transmission des connaissances et la production des savoirs.
La politique de recherche menée à Sciences Po Lille repose sur une triple ambition. Celle tout d’abord de faire de la recherche un levier essentiel de son positionnement scientifique au sein du paysage académique régional, national et international, et de la consolidation des liens qu’elle noue au sein de l’Université de Lille, du Collégium des Grandes Ecoles, du réseau des Sciences Po de Région ainsi qu’avec l’ensemble des institutions partenaires à l’étranger. Grâce à sa culture de l’interdisciplinarité, Sciences Po Lille entend ainsi initier et multiplier les opérations scientifiques fédératrices, en collaboration notamment avec les différents laboratoires dont sont membres ses enseignants-chercheurs : CECILLE, CERAPS, CLERSE, CRDP, IRHIS, et dont quatre sont des unités du CNRS.
La recherche entend aussi constituer l’une des vitrines de Sciences Po Lille, l’un de ses indicateurs d’excellence. En renforçant la visibilité des activités scientifiques menées au sein de l’établissement, en diversifiant la forme des manifestations (colloques internationaux, journées d’étude, séminaires ou conférences) qui rythment l’année universitaire, Sciences Po Lille souhaite consolider l’articulation entre ses formations et la recherche, faciliter le montage des projets individuels et collectifs, améliorer la diffusion de l’information scientifique auprès de la communauté académique. Des supports électroniques et éditoriaux permettent ainsi de diffuser les travaux scientifiques menés par les enseignants-chercheurs et les professeurs invités, en les rassemblant autour d’une même identité institutionnelle. Sciences Po Lille, sur avis de la Commission scientifique, et sur fonds propres, entend également faciliter l’exercice pratique de la recherche en octroyant chaque année un semestre de CRCT à l’un ou l’une de ses enseignants titulaires.
La recherche est enfin considérée par Sciences Po Lille comme un instrument très précieux de son ouverture sur la Cité, et sur son environnement sociétal. Des animations diverses sont ainsi régulièrement menées afin de faire rencontrer et dialoguer des chercheurs et des professionnels des secteurs d’activité pour lesquels l’établissement dispose d’une offre de formation (journalistes, métiers de la culture et des mondes associatifs, experts auprès d’organisations internationales, etc.). De la même manière, nous considérons que la recherche et les chercheurs doivent se rendre dans les écoles afin de présenter aux lycéens quelques-unes des opérations scientifiques conduites dans l’établissement, et les familiariser ainsi avec des activités qu’ils connaissent souvent très mal.
Forte d’une trentaine d’enseignants-chercheurs titulaires, appartenant à plusieurs disciplines des sciences sociales, Sciences Po Lille investit dans la recherche afin que celle-ci soit une source et une ressource majeure de sa reconnaissance comme institution de qualité. La recherche irrigue tous ses enseignements, elle diffuse la culture et l’éthique scientifique auprès de tous ses étudiants, elle construit des ponts entre les hommes et les continents.

http://www.sciencespo-lille.eu/

Partenaire du Congrès AFSP 2002

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Les laboratoires de recherche dont sont membres ses enseignants-chercheurs de Science Po Lille.

http://www.sciencespo-lille.eu/enseigner/la-recherche-a-sciences-po-lille/les-laboratoires-de-recherche

Fondé en 1948, Sciences Po Lyon constitue la grande école des sciences de la Cité de la métropole Lyon/Saint-Etienne.
Membre de la COMUE Université de Lyon depuis sa création et de l’Alliance des Grandes Ecoles Rhône-Alpes (AGERA) et de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE), Sciences Po Lyon délivre depuis plus de 60 ans une formation pluridisciplinaire et professionnalisante, adossée à une recherche d’excellence.
Son modèle éducatif, lié à un mode de formation des élites du public et du privé bien établi en France à travers la tradition des Grandes Ecoles, s’apparente également aux institutions anglo-saxonnes du type School of Public Affairs ou School of Government. L’enseignement, nourri par une recherche d’excellence cultive une approche pluridisciplinaire en sciences humaines et sociales à partir des quatre disciplines de base que sont l’histoire, le droit, la science politique et l’économie. Les sciences de gestion, le management, l’information-communication et bien sûr les langues et civilisations viennent utilement compléter ce socle de connaissances partagées par tous les diplômés.
Le programme de Masters de Sciences Po Lyon comprend les 10 spécialités professionnalisantes du diplôme, les M2 de Lyon 2 dont l’IEP a la gestion, ainsi que ceux offerts en mutualisation par les autres IEP et nos principaux partenaires. La professionnalisation et l’internationalisation passent également par le développement de doubles diplômes avec des partenaires universitaires et de nombreuses conventions de stage à l’étranger.
Les diplômés bénéficient donc de filières de professionnalisation très diverses, combinées à une grande capacité d’adaptation, qualités essentielles pour de futurs cadres dirigeants, personnels d’encadrement, décideurs et managers, des secteurs publics et privés : plus de 60 % des diplômés travaillent dans le privé au sens large incluant le monde associatif et des ONG.
Les métiers concernés sont très divers, des administrations et affaires publiques, aux métiers de l’information, du journalisme, de l’expertise et de la consultance, aux secteurs sociaux, culturels et artistiques, en passant par les postes au sein des services RH des entreprises, et une dimension plus business bien illustrée par notre spécialité Affaires Asiatiques ou encore par le double diplôme IEP/EM et le partenariat avec l’IAE de Lyon 3.
La voie de la recherche et de l’enseignement est également bien présente, Sciences Po Lyon assurant notamment la gestion pédagogique et administrative du Doctorat de science politique de l’Université de Lyon.
Plus de 150 universités étrangères sont liées à Sciences Po Lyon par convention. Une solide formation en langues vivantes permet aux étudiants de partir au cours de leur scolarité en Europe (programme Erasmus), en Amérique du Nord, Amérique Latine, Asie, au Moyen-Orient…
Chaque année, l’Institut accueille en retour plus de 200 étudiants venus de tous les continents : une opportunité supplémentaire d’ouverture aux cultures du monde.
Cette ouverture internationale est particulièrement favorisée par l’étude d’aires géographiques et culturelles dans le cadre de six Diplômes d’Etablissement (DE) centrés sur l’Asie, les Amériques (Latine et du Nord), l’Europe, le Monde Arabe, et l’Afrique Subsaharienne.
Sciences Po Lyon c’est aussi des enseignants/chercheurs impliqués dans différentes équipes de recherche marquant l’identité pluridisciplinaire de notre Institut (3 UMR : Triangle – action, discours, pensée politique et économique , l’Institut d’Asie Orientale (IAO), et le Groupe de Recherche et d’Etudes sur la Méditerranée et le Moyen-Orient (GREMMO) ; et 1 EA : Equipe de Recherche de Lyon en Information et Communication (ELICO)). Sciences Po Lyon assure également la gestion pédagogique et administrative du Doctorat de science politique de l’Université de Lyon, dans le cadre de l’Ecole doctorale « Sciences Sociales ». Quatre-vingts doctorants y préparent leur thèse, accueillis par plusieurs laboratoires. Enfin, l’IEP abrite la direction de la revue Mots. Les langages du politique, seule revue francophone dédiée à l’étude des langages du politique.

https://www.sciencespo-lyon.fr

Partenaire du Congrès AFSP 2005

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L’Institut d’Asie Orientale (IAO) est l’un des centres de recherche de Sciences Po Lyon, centre de recherche interdisciplinaire qui réunit des enseignants-chercheurs et des chercheurs travaillant principalement sur la Chine, le Japon, Taïwan, le Vietnam et les régions contiguës.
Tutelles : CNRS, ENS de Lyon, Sciences Po Lyon, Université Lumière Lyon 2

Ouvert en 1991, Sciences Po Rennes fait partie du réseau des dix Instituts d’études politiques. Cet encore jeune établissement a, comme ses aînés, pour mission de former des étudiants, issus de l’ensemble de la population, afin qu’ils exercent demain des responsabilités tant dans le secteur public que dans le secteur privé en France, en Europe et dans le reste du monde.
Les étudiants reçoivent à Sciences Po Rennes une formation pluridisciplinaire d’excellence dans le domaine des sciences humaines et sociales, formation traditionnelle mais novatrice conjuguant individuel et collectif, sens des responsabilités personnelles et de l’intérêt général et ouverture aux grands enjeux de la société.
C’est de cette jeunesse que Sciences Po Rennes tire son dynamisme, son enthousiasme et sa capacité de réaction et d’adaptation aux défis d’un monde en grande mutation. Formation prestigieuse et institutionnelle, elle n’en est pas moins en perpétuelle évolution. Premier des IEP à avoir instauré l’année à l’étranger obligatoire pour tous, Sciences Po Rennes confirme son engagement novateur en créant des parcours spécialisés (ingénierie de la prospective et de la concertation, cybersécurité, ingénierie urbaine, développement durable, etc.) qui viennent compléter la gamme des formations traditionnelles de Sciences Po Rennes (centre de préparation à l’ENA, journalisme, politiques publiques, management, etc.).
Tous ces parcours répondent à une logique d’insertion professionnelle : 83% des diplômés de la promotion 2011 ont trouvé un emploi en moins de six mois. Cette insertion professionnelle est facilitée par les compétences d’une équipe enseignante expérimentée et par l’apport d’une recherche en sciences humaines et sociales de haut niveau qui vient fertiliser les contenus des enseignements dispensés aux étudiants.

http://www.sciencespo-rennes.fr/

Partenaire du Congrès AFSP 1999

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Le CRAPE (Centre de recherches sur l’action politique en Europe) est une unité mixte de recherche (UMR 6051) de sciences sociales, rattachée au CNRS, à l’Université Rennes 1, à Science Po Rennes et à l’EHESP.
Il s’est historiquement constitué à partir de la science politique. Mais au fil des ans et de ses développements le CRAPE a fait une place comparable aux sciences de l’information et de la communication et à la sociologie. Ces trois disciplines fédèrent aujourd’hui près de 90% des chercheurs. L’équipe accueille aussi des spécialistes d’histoire contemporaine et quelques représentants d’autres disciplines des SHS comme la démographie, la gestion et l’éducation à la santé. Cette pluridisciplinarité est encouragée dans les questionnements scientifiques et se retrouve dans le contenu de nombreux travaux du laboratoire.
Cette unité de recherche regroupe près de 100 personnes. L’équipe est composée de 6 chercheurs Cnrs et un chercheur boursier Marie-Curie, 40 enseignants-chercheurs (29 maîtres de conférences et 11 professeurs des universités), 3 ITA Cnrs, 3 ingénieurs Ehesp, 30 doctorants et 10 docteurs, 10 chercheurs associés.
La place des jeunes chercheurs est centrale dans l’unité. Le laboratoire veille à ce que les jeunes chercheurs en doctorat aient les moyens matériels et intellectuels de mener à bien leurs recherches, grâce à l’appui d’allocations de recherche, mais aussi de moyens pour participer à des congrès nationaux et internationaux.
Le CRAPE est organisé en trois équipes : Santé, régulation des risques et des incertitudes(responsables : Renaud Crespin, Blanche Le Bihan et Eric Breton) ; Journalisme et espace public (responsables : Béatrice Damian-Gaillard, Pierre leroux et Roselyne Ringoot) ; Mobilisations, citoyennetés et vie politique(responsables : Sylvie Ollitrault, Patricia Loncle et Sami Zegnani).
L’activité de recherche de l’unité est fortement internationalisée, ouverte sur l’Europe, avec le soutien de la Commission européenne, mais aussi des programmes internationaux des agences nationales de recherche en Europe (comme le programme « Open Research Area » de l’ANR), ou bien encore en contribuant à la vie intellectuelle de plusieurs sociétés savantes en sciences sociales, comme l’ECPR (Consortium européen pour la recherche en Science Politique) ou encore l’ESPAnet (European social policy association network) mais aussi au-delà de l’Europe, sur les Amériques, en particulier avec l’implication de l’unité dans l’Institut des Amériques (IDA). Plusieurs membre du laboratoire sont en poste à l’étranger (Canada, Brésil, Belgique, Chine, notamment).
Équipe à centre de gravité rennais et à réseau régional, le CRAPE s’inscrit dans les structures de recherche dans l’Ouest. Il est fortement impliqué dans la Maison des sciences de l’homme en Bretagne (MSHB) qui associe les chercheurs des quatre universités bretonnes. Il prend une part active au GIS « M@rsouin » dans le domaine de la communication et à l’ Institut des Amériques, mais aussi dans le GIS Journalisme et le GIS sur l’urbanisme. Il collabore aussi avec les sociologues nantais du CENS.
Le rayonnement du laboratoire, c’est encore son implication dans le pilotage de trois revues de sciences sociales, dont deux à vocation internationale : Lien social et Politiques, Sur le journalisme / About journalism / Sobre jornalismo, et la revue Mots. Des membres de l’unité contribuent aussi à l’animation de deux collections, l’une aux Presses universitaires de Rennes (Res Publica), l’autre aux Presses de l’EHESP.
Le CRAPE a également un rôle au plan des formations supérieures dispensées dans ses établissements partenaires. Il est le laboratoire d’appui de 8 masters, à l’IEP de Rennes (les masters « Expertise de l’action publique territoriale», «Action et espace public en Europe», «Journalisme, Enquête et Reportage», «Histoire et Relations internationales»), en lien avec la Faculté de droit et de science politique («Politiques européennes») et avec l’EHESP (« Master of Public Health », «Pilotage des politiques et actions en santé publique » et «Jeunesse politiques et prises en charge»). Enfin, le CRAPE est inscrit dans les unités de recherche de l’Ecole doctorale SHOS «Sciences de l’Homme, des Organisations et de la Société».

Dernier né des Instituts d’études politiques (IEP), Sciences Po Saint-Germain-en-Laye a ouvert ses portes en septembre 2014 dans un site classé, au carrefour du Val-d’Oise et des Yvelines. L’intégration au réseau que forment sept IEP de région1, organisateurs d’un concours  commun auquel se présentent quelques 10 000 candidats chaque année, garantit  la qualité des lauréats. Elle inscrit aussi Sciences Po Saint-Germain-en-Laye dans  une dynamique visant à démocratiser l’accès au label d’excellence que constitue  “Sciences Po”. Le nouvel IEP prend toute sa part des dispositifs d’aide à la préparation  au concours à destination des jeunes publics éloignés ou peu représentés dans les filières  sélectives. Et il est fier de ses premières promotions marquées par la diversité des origines  sociales et géographiques.
Porté par l’UCP et l’UVSQ, Sciences Po Saint-Germain-en-Laye relève d’un modèle original, qui prend appui sur ce que les universités ont de meilleur, tout en maintenant l’exigence académique et le niveau d’encadrement d’une grande école. Ancré dans la recherche et résolument tourné vers l’international, le deuxième IEP francilien bénéficie d’un réseau dense  de partenaires professionnels pourvoyeurs de stages et acteurs majeurs de la formation.
Grâce au soutien d’une fondation dédiée, Sciences Po Saint-Germain-en-Laye dispose également depuis sa création de l’appui de mécènes publics et privés qui s’investissent dans son développement.
Sciences Po Saint-Germain-en-Laye impulse un partenariat régional de recherche en sciences politiques à l’échelle de l’Île-de-France. Il associe quatre laboratoires de renom, aux compétences complémentaires, dont les équipes de chercheurs sont actuellement en discussion pour la construction de ce projet commun qui prendra la forme d’un « observatoire sociopolitique d’Île-de-France ». Véritable outil d’audit et de recherche à l’échelle régionale, l’observatoire sera structuré par quelques grands axes thématiques : précarité, déviance et insécurité, comportements électoraux, action publique locale, globalisation des territoires. Il privilégiera l’articulation entre les approches par plans d’observation localisée – qui permettent de cumuler et de croiser les données tant qualitatives que quantitatives pour une compréhension fine des phénomènes – et des dispositifs permettant d’en évaluer la diffusion dans l’espace social aux différentes échelles, du quartier jusqu’à la région.
Les grands acteurs de la recherche mobilisés sont le CESDIP (Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales, UMR 8183, CNRS/UVSQ/Ministère de la justice) ; le THEMA (Théories économiques, modélisations, applications, UMR 8184, CNRS/UCP) ; le PRINTEMPS (Professions, institutions, temporalités, UMR 8085, CNRS /UVSQ) ; le CEE (Centre d’études européennes, UMR 8239, Sciences Po Paris).

http://www.sciencespo-saintgermainenlaye.fr/

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Le CESDIP est une unité mixte de recherche du CNRS (UMR 8183), créée par le décret n° 83-926 du 20 octobre 1983. Le CESDIP a une histoire longue de plus de 40 ans, puisqu’il est l’émanation du Service d’Études Pénales et Criminologiques du ministère de la Justice (SEPC) établi en 1969.
Depuis 2006, le CESDIP est une UMR dotée de trois tutelles : le CNRS, le ministère de la Justice, l’Université de Versailles-Saint-Quentin, auxquelles s’est adjointe une quatrième tutelle en 2016 : l’Université de Cergy-Pontoise.
Le CESDIP a vocation à produire des recherches sur les phénomènes de criminalité et de délinquance (et plus largement de déviance) et sur les institutions en charge de prévenir, contrôler, incriminer ou réprimer ces phénomènes (en premier lieu les institutions pénales). Les recherches du CESDIP s’attachent donc à comprendre le fonctionnement et la production des institutions pénales, de la justice pénale, de la police, de la gendarmerie, et plus largement des institutions qui prennent part à la prévention et au traitement des atteintes aux personnes et aux bien, et à la sécurité. Le laboratoire est interdisciplinaire et rassemble des sociologues, des économistes, des politistes et des historiens. Il relève des sections 36 et 40 du CNRS, et les universitaires affectés au laboratoire sont habilités en sections 04, 19 et 22 du CNU.
Les recherches menées par les membres du CESDIP se situent presque exclusivement dans un domaine de spécialité : les questions de déviances, de sécurité et de justice pénale. Cette spécialisation est la force du laboratoire, ce qui fait de lui le plus ancien et plus important centre de recherches français sur ces questions. Au sein de cette spécialisation, la force du laboratoire provient cependant aussi d’une triple ouverture : dans les méthodes (aussi bien quantitatives que qualitatives), dans les disciplines (sociologie, science politique et histoire) et dans les aires géographiques couvertes (de nombreuses recherches ont en effet une forte dimension comparative européenne voire internationale).

L’IEP de Strasbourg a été créé au lendemain de la seconde guerre mondiale. Il avait pour rôle de contribuer à la rénovation et à la modernisation de l’Etat au travers de la formation de ses cadres administratifs et politiques. Cela reste la mission traditionnelle de l’Institut ce qui l’a conduit à développer ses coopérations avec les écoles de service public de Strasbourg (ENA et INET), les administrations publiques et les collectivités territoriales, notamment dans le cadre du Pôle européen d’administration publique.
L’activité de l’IEP de Strasbourg s’est progressivement enrichie et diversifiée. C’est ainsi que l’enseignement s’est de plus en plus tourné vers l’Europe, mettant à profit la proximité des Institutions européennes, qu’il s’agisse du Parlement de l’Union européenne ou du Conseil de l’Europe. Dans le même temps se sont multipliés les coopérations transfrontalières et les accords avec des Universités étrangères, partout dans le monde, afin de faciliter la circulation des étudiants et des savoirs.
L’IEP contribue de plus en plus à la formation des cadres supérieurs du secteur privé, marchand ou non-marchand. Les enseignements dans les secteurs de la finance et de la banque, mais également de la communication, du lobbying ou de la gestion des activités culturelles se sont développés.
Tout cela reflète la richesse de la formation dispensée à l’IEP de Strasbourg. Celle-ci est profondément marquée par son caractère pluridisciplinaire et largement ouvert sur l’Europe et le Monde. Elle se combine avec une forte professionnalisation, principalement en Master, dans les domaines d’excellence de notre Institut. Au-delà, l’offre de formation est complétée par les mutualisations permises dans le cadre du réseau des 7 IEP du concours commun (Aix-en-Provence, Lille, Lyon, Rennes, Saint-Germain-en-Laye et Strasbourg et Toulouse).
L’ensemble de ces missions, l’IEP de Strasbourg les assure dans le respect de ses valeurs fondamentales d’excellence mais également de solidarité et d’équité. Cela a conduit à favoriser son ouverture à des publics nouveaux par le biais du programme d’égalité des chances et de démocratisation de l’accès à Sciences Po. Cela se retrouve de la même manière dans l’importance donnée à la vie associative au sein de l’Institut.
Au niveau de la recherche, Sciences Po Strasbourg s’appuie sur trois laboratoires : Dynamiques Européennes / SAGE Sociétés, Acteurs, Gouvernement en Europe / Laboratoire de Recherche en Gestion et Economie (LaRGE) et une Fédération de recherche : l’Europe en mutation.

http://www-iep.u-strasbg.fr/

Partenaire du Congrès AFSP 2011

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SAGE (Sociétés, Acteurs, Gouvernement en Europe) est un nouveau laboratoire de recherche en sciences sociales du politique labellisé par le CNRS à l’IEP de Strasbourg qui a pris le relais du GSPE, Groupe de sociologie politique européenne, en 2013.
SAGE a placé au cœur son projet scientifique l’interdisciplinarité, à l’instar de l’IEP de Strasbourg. Les 9 chercheurs CNRS et les 50 enseignants-chercheurs sont issus de science politique, de sociologie, de démographie, d’histoire des sciences et des techniques, de droit de l’environnement, des droits de l’homme et de la géographie sociale. Ils se rejoignent autour de questionnements communs et partagent une même perspective empirique des sciences sociales, croisant des méthodes quantitatives et qualitatives.
Les recherches au sein de SAGE s’articulent en 6 axes :
Axe 1 : Transnationalisation des élites et reconfiguration des espaces politiques supranationaux
Axe 2 : Environnement, santé, sciences et société
Axe 3 : Sociétés critiques et mutations des formes de revendications collectives en Europe
Axe 4 : Politiques sociales, dynamiques familiales et professionnelles
Axe 5 : Transformations des marchés de biens symboliques : culture, médias et éducation
Axe 6 : Dynamiques territoriales, villes et mobilités

Créé en 1948 Sciences Po Toulouse est un établissement public administratif d’enseignement supérieur qui accueille chaque année 1700 étudiants et stagiaires.
Sciences Po Toulouse est l’un des 10 Instituts d’Études Politiques de France. Il organise des concours communs d’entrée en 1ère et 2ème année avec 6 autres IEP de région : Aix, Saint-Germain- en-Laye, Lille, Lyon, Rennes et Strasbourg.
En 2016, Sciences Po Toulouse a rédigé un volet du contrat quinquennal liant  l’Université fédérale de Toulouse à l’Etat. Fruit d’une négociation entre l’établissement et son ministère de rattachement, ce volet spécifique donne les objectifs stratégiques de l’école et définit des jalons à respecter pour la période 2016-2020.
Il s’axe sur l’ouverture dans tous ses aspects :
•    ouverture à la pluridisciplinarité des sciences sociales du politique dans les formations et dans les laboratoires de recherche (économie et sciences sociales du politique) ;
•    ouverture internationale ;
•    ouverture à la Cité et aux territoires via l’animation du débat public, le relais de la culture scientifique, l’insertion dans le site toulousain avec des collaborations en matière de formation, l’implication au sein de l’Université fédérale de Toulouse et au sein du réseau des IEP, ainsi que par le développement des partenariats avec le milieu socio économique ;
•    ouverture sociale à la diversité avec une politique active d’égalité des chances et de lutte contre les discriminations à tous les niveaux ;
•    ouverture à un pilotage professionnalisé via le développement d’une démarche qualité.

L’IEP poursuit parallèlement une politique de formation axée sur la professionnalisation dans des domaines de métiers diversifiés, dont ceux de la recherche.
Véritable « vitrine » de l’école, la dimension Recherche est un instrument d’avancement des connaissances et d’intelligibilité du monde social, contribuant au rayonnement des travaux des chercheurs.
Sciences Po Toulouse développe depuis plusieurs années des activités scientifiques de qualité, dynamiques, marquées par l’interdisciplinarité et associées aux politiques de recherche régionales, nationales, européennes et internationales. Une équipe d’enseignants-chercheurs propose aux étudiants des savoirs vivants, actualisés, permettant ce va-et-vient constant entre leurs préoccupations d’enquête et leur application pédagogique.
Il dispose de deux laboratoires de recheche, qui sont des acteurs importants de la production de sciences économiques, sociales et politiques à Toulouse :
•    le LaSSP, Laboratoire de Sciences Sociales du Politique
•    le LEREPS, le Laboratoire d’Etude et de Recherche sur l’Economie, les Politiques et les Systèmes sociaux.

http://www.sciencespo-toulouse.fr/

Partenaire du Congrès AFSP 2007

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Le Laboratoire des Sciences Sociales du Politique (LaSSP) entend, avec et après bien d’autres, contribuer au renouvellement des problématiques, des méthodes et des objets de la sociologie politique par la pratique d’une véritable interdisciplinarité. Aussi, le Laboratoire des sciences sociales du politique, comme son nom l’indique, s’attache d’une part au caractère spécifique des phénomènes politiques, lesquels se rapportent aux processus de gouvernement, entendus comme l’ensemble des activités tendant à maintenir ou à modifier l’ordre social dans une ou des sociétés politiques, et ont toujours à voir, peu ou prou, avec l’usage de modalités de coercition et de persuasion reçues comme légitimes parce que légitimées ; et d’autre part souligne tout l’intérêt scientifique d’une pluralité d’approches du politique en ses formes différenciées.
C’est pourquoi le LaSSP accueille des politistes, des juristes, des historiens, des sociologues, des chercheurs en science de l’information et de la communication, des anthropologues et des économistes qui, tout en étudiant les phénomènes politiques chacun selon son cadre d’analyse propre, les appréhendent à partir d’une même perspective – que, par sténographie, l’on pourrait dire «au concret» et «par en bas» (bottom up). Qu’il s’agisse d’étudier les institutions politico-administratives gouvernantes comme univers de pratiques au concret ou d’étudier la réception et les usages dits «ordinaires» ou «semi-profanes» du discours des professionnels du champ politique, notamment dans leur dimension européenne, c’est toujours l’économie interactionnelle des pratiques concrètes-réelles des acteurs sociaux qui retient tout particulièrement l’intérêt des chercheurs du laboratoire.
Les recherches se structurent autour de deux axes :
Axe 1 – Gouvernements, administrations et politiques publiques
Axe 2 – Médias, Culture et Politique

Fondé en 1983, le Centre d’Études Politiques de l’Europe Latine (CEPEL) est le seul laboratoire de science politique du sud-est de la France. Cette unité mixte de recherche du CNRS (UMR 5112) est hébergée par l’Université de Montpellier.
Ses travaux portent sur l’analyse comparée de la transformation des modes de gouvernement des démocraties. Originellement centrée sur l’aire géographique de l’Europe du Sud, le CEPEL a étendu l’aire de ces compétences au « grand sud » et à l’Amérique de nord.
Les thématiques de recherche pour la période 2015-2019 sont :
•    la recomposition de la gouvernance démocratique;
•    les transformations des comportements citoyens ;
•    la santé publique et le développement durable : nouveaux enjeux de gouvernement.
Son équipe comprend : 4 chercheurs CNRS, 13 enseignants-chercheurs, 4 personnels administratifs et 15 doctorants. Elle est dirigée par William Genieys, directeur de recherche CNRS, prix d’excellence en science politique de la Fondation M. Dogan AFSP (2013).
Le CEPEL est laboratoire de soutien au Master Recherche bilingue « Comparative Politics and Public Policy » au sein de la faculté de droit et de science politique de l’Université de Montpellier. Il a ainsi formé 28 docteurs en science politique de plusieurs nationalités durant les 5 dernières années.
Depuis ses origines, l’unité s’inscrit principalement dans le champ de la science politique et est rattachée à la section 40 du comité national du CNRS. Le CEPEL a demandé et obtenu en 2016 un rattachement à la section 36 (Sociologie et science du droit) du CNRS.

http://cepel.edu.umontpellier.fr/

Partenaire des Congrès AFSP 2017.

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Pôle Sud. Revue de science politique de l’Europe méridionale, fondée en 1994, est une revue semestrielle soutenue par le CNRS (Centre d’Etudes Politiques de l’Europe Latine) et la Faculté de droit et de science politique de l’Université  de Montpellier.
Elle publie des travaux de science politique générale, et développe, depuis sa création, une politique éditoriale systématique sur l’Europe du Sud. Elle donne lieu à des publications portant sur les régimes, cultures et élections ; elle s’ouvre aussi sur l’analyse des politiques publiques et le comparatisme.
Chaque numéro est d’ordinaire composé d’un dossier thématique (rubrique Thema), d’articles hors dossier (Arena) et de recensions (Lectures), complétés le cas échéant par des Chroniques électorales de l’Europe du Sud.
Pôle Sud s’appuie sur un comité scientifique international d’une vingtaine de membres et un comité de rédaction de 7 membres sollicitant des évaluateurs extérieurs. Revue à comité de lecture, elle adopte une politique de double évaluation anonyme des articles proposés. Elle fait partie des revues scientifiques de science politique listées par l’Agence d’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur (AERES). Elle est disponible en version imprimée et en version électronique sur les portails Persée et Cairn.
Pôle Sud est indexée par Sociological Abstract (USA) et Zeller Dietrich Bibliographische Verlag (Allemagne).

Le Centre d’Études et de Recherches Administratives, Politiques et Sociales (CERAPS) est une Unité Mixte de Recherche de l’Lien externe – Ouverture dans une nouvelle fenêtreUniversité de Lille 2 et du Lien externe – Ouverture dans une nouvelle fenêtreCNRS. C’est un laboratoire de la Maison Européenne des Sciences de l’Homme et de la société.
Adossé à des formations en science politique et en droit public, il constitue le plus important laboratoire CNRS de science politique et de droit public au nord de Paris. Par le volume de ses contrats, il représente la plus grosse UMR en SHS de la délégation CNRS Nord-Pas-de-Calais-Picardie.
Il compte 7 ITA (dont 3 CNRS et 4 Universitaires), 39 enseignants-chercheurs principalement en poste à la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales, à l’Institut d’études politiques de Lille et à l’UFR STAPS, 11 chercheurs CNRS et une soixantaine de doctorants, aux deux tiers financés.
Le projet scientifique du laboratoire (2015-2020) est irrigué par trois dimensions transversales :
-le souci de l’interdisciplinarité, entre droit, science politique et sociologie
-l’attention aux méthodes
-la place accordée aux nouvelles technologies et à leurs usages.
Il est organisé autour de trois axes thématiques :
-Axe ‘Santé, corps, environnement’ (resp. Thomas Alam, Jean-Jacques Lavenue, Bruno Villalba)
-Axe ‘Mobilisations, participations, représentation’ (resp. Guillaume Courty, Annie Laurent, Aude Lejeune)
-Axe ‘Ordres juridiques, ordres sociaux’ (resp. Stéphane Bracq, Isabelle Bruno, Anne-Cécile Douillet)
Le CERAPS est un laboratoire d’accueil et de formation. Il est le laboratoire support du Master science politique-action publique de l’Université Lille 2 ainsi que de plusieurs formations en Master de droit public. Il organise depuis 1987 Quantilille, l’école d’été de Lille en Méthodes Quantitatives des Sciences Sociales, plus ancienne école thématique récurrente du CNRS et une des cinq formations européennes reconnues par l’ECPR avec celles de Cologne, d’Essex, de Llbujana et d’Oxford.
C’est également un laboratoire qui organise régulièrement des manifestations scientifiques, telles que journées d’études et colloques et qui est très présent sur la scène internationale grâce notamment à ses nombreux partenariats institutionnels et aux coopérations universitaires qu’il entretient avec les chercheurs étrangers, notamment aux Etats-Unis, au Canada, au Japon, en Afrique et en Europe.

http://ceraps.univ-lille2.fr/

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L’Ecole d’été de Lille en Méthodes Quantitatives des Sciences Sociales, école thématique du CNRS, est une formation consacrée aux Méthodes quantitatives en sciences sociales. Elle est organisée par le CERAPS (Centre de Recherches Administratives, Politiques et Sociales, UMR 8026) pour la vingt-troisième année. Il s’agit d’une des cinq formations de ce type reconnues officiellement par l’ECPR (avec celles de Llubjana, d’Essex, d’Oxford et de Cologne), la seule en langue française.

Fondé à la fin des années soixante, le Centre d’Études et de Recherches de Sciences Administratives et Politiques (CERSA) a pour vocation l’étude des phénomènes administratifs à tous les niveaux : national – local – international et dans toutes leurs dimensions : juridique – historique – sociologique. Le CERSA est une unité mixte de recherche – UMR 7106 – placée sous la double tutelle de l’Université Panthéon-Assas -Paris 2 et du Centre National de la Recherche Scientifique – CNRS.
Rattaché à l’Ecole doctorale de droit public, science politique et science administrative de l’Université Panthéon-Assas – Paris 2, il sert d’équipe d’accueil au Master 2 – Administration et politiques publiques (finalité recherche/professionnelle) et au Master 2 – Droit sanitaire et social. Il collabore aux préparations aux concours administratifs organisées dans le cadre de l’Institut de préparation à l’administration générale IPAG de Paris 2 et il participe aux activités de l’Institut Cujas, Fédération de recherche pour le droit public interne et la science politique. Outre la participation d’un ensemble d’enseignants et chercheurs associés à l’unité, le CERSA compte : 21 enseignants chercheurs, 7 chercheurs CNRS, 37 chercheurs associés, 2 ITA CNRS, 2 IATOS Éducation nationale,  doctorants et post-doctorants.
Ses axes de recherches sont :
– Cultures, modèles et réformes administratives
– Politiques sanitaires et sociales
– Européanisation des systèmes politiques
– Droit et complexité à l’heure du numérique

http://cersa.cnrs.fr/

Le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) est un centre de recherche français qui répond, avec les pays du Sud, aux enjeux internationaux de l’agriculture et du développement. Etablissement public à caractère industriel et commercial, le Cirad est placé sous la double tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et du ministère des Affaires étrangères et européennes. En partenariat avec les pays du Sud dans leur diversité, le Cirad produit et transmet de nouvelles connaissances, pour accompagner leur développement agricole et contribuer au débat sur les grands enjeux mondiaux de l’agronomie. Organisme de recherche finalisée, le Cirad établit sa programmation à partir des besoins du développement, du terrain au laboratoire, du local au planétaire.
Ses activités relèvent des sciences du vivant, des sciences sociales et des sciences de l’ingénieur appliquées à l’agriculture, à l’alimentation et aux territoires ruraux. Le Cirad s’engage au plus près des hommes et de la Terre sur des défis complexes et évolutifs : sécurité alimentaire, intensification écologique, maladies émergentes, devenir des agricultures des pays du Sud. Le Cirad concentre ses recherches autour de 6 axes scientifiques prioritaires. Il est présent en priorité dans le cadre de dispositifs de recherche en partenariat (25 dans le monde et 7 dans l’outre-mer français). Le Cirad dispose d’un réseau mondial de partenaires et de 12 directions régionales, à partir desquelles il mène des activités de coopération avec plus de 90 pays. Ses partenariats bilatéraux s’inscrivent dans des dynamiques multilatérales d’intérêt régional. En France métropolitaine, il met à la disposition de la communauté scientifique nationale et internationale un important dispositif de recherche et de formation situé principalement à Montpellier. Le Cirad est membre fondateur d’ Agreenium, le Consortium national pour l’agriculture, l’alimentation, la santé animale et l’environnement, et membre d ‘AllEnvi , l’Alliance nationale de recherche pour l’environnement.
Le Cirad c’est : 1800 agents, dont 800 chercheurs. Des activités en partenariat avec plus de 90 pays. 3 départements scientifiques : Systèmes biologiques (Bios), Performance des systèmes de production et de transformation tropicaux (Persyst), Environnement et sociétés (ES). 37 unités de recherche. 12 directions régionales en France métropolitaine, dans l’outre-mer français et à l’étranger. Une trentaine d’outils collectifs de recherche accessibles aux partenaires du Sud. Plus de 1,8 million d’euros consacrés à la formation doctorale ; 800 chercheurs et techniciens du monde entier accueillis et formés chaque année. Un budget de 203 millions d’euros en 2008.Le Cirad entretient des liens étroits avec les établissements d’enseignement supérieur, au Sud comme au Nord. Les chercheurs sont particulièrement impliqués dans la formation de doctorants et l’accueil de post-doctorants. Chaque année les chercheurs du Cirad encadrent directement plus de 300 doctorants, 60 % d’entre eux sont originaires d’un pays du Sud.
Le Cirad accompagne sa politique de formation doctorale par des actions incitatives et par des allocations de recherche destinées à des doctorants et des post-doctorants travaillant sur des sujets jugés stratégiques. En 2008, 40 doctorants ont bénéficié d’une allocation de recherche du Cirad. Par ailleurs, 240 doctorants ont bénéficié d’un appui financier pour le déroulement de leur thèse. L’appui est dispensé en terme de fonctionnement ou sous forme de bourse pour effectuer un séjour dans un laboratoire du Cirad. Au total, le Cirad consacre chaque année plus de 1,8 millions d’euros à la formation doctorale.

http://www.cirad.fr

Partenaire des Congrès AFSP 2017.

Créé le 1er janvier 2009, le CRESPPA, Centre de Recherches Sociologiques et Politiques de Paris, UMR 7217 du CNRS, de l’Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis et de l’Université Paris Ouest-Nanterre, fédère le CSU, « Cultures et Sociétés Urbaines », le GTM, « Genre, Travail, Mobilités » et le LabTop, « Laboratoire Théorie du politique ».
Depuis le 1er janvier 2014, l’UMR CRESPPA (Centre de Recherches Sociologiques et Politiques de Paris) s’est renforcée d’une troisième équipe : aux équipes fondatrices, CSU (Cutlures et sociétés urbaines) et GTM (Genre, travail et mobilités) se joint le Labtop (Laboratoire théories du politique).
Trois thématiques transversales organisent les recherches de l’unité : Genre et rapports sociaux de sexe / Au croisement du travail et des classes sociales / Frontières et dynamiques de la citoyenneté.
Chaque équipe possède des thématiques propres qui dialoguent avec les thématiques transversales et entre elles :
Équipe CSU (« Ville » : catégories et ségrégations urbaines / Culture / Santé)
Équipe GTM (Le travail à l’articulation des relations entre métiers et  expression différenciée des émotions / Migrations, mobilités et pays du Sud / Dynamiques sociodémographiques, famille et socialisation)
Équipe Labtop (Représenter / Circulations transnationales et asymétries de pouvoir / Genre et bio-pouvoir)
Outre la volonté d’un fonctionnement interne collégial incluant toutes les catégories de personnels autant que les collègues en formation, les trois équipes partagent un intérêt fort pour l’étude des différentes formes sociales de domination et de mobilisation ainsi que pour les divisions et les catégorisations liées aux rapports sociaux. La perspective comparatiste est fortement présente dans l’ensemble des programmes de recherche. Par la relativisation à laquelle invite la comparaison internationale, elle permet de fonder plus solidement les modèles explicatifs issus des recherches de terrain. En effet, la démarche empirique est clairement affirmée dans cette unité. Ce qui conduit, notamment, à une attention soutenue à la formation à la recherche par la recherche et à une intégration des doctorants à toutes les activités des équipes. Enfin, la préoccupation épistémologique est également très présente dans l’essentiel des approches.
L’UMR CRESPPA rassemble plus de 80 titulaires (dont 16 chercheurs CNRS (7 DR et 9 CR) et 53 universitaires (23 PR et 30 MCF).

http://www.cresppa.cnrs.fr/

Le Centre Universitaire de Recherches Administratives et Politiques de Picardie (CURAPP) a été créé en 1971 au sein de la Faculté de Droit et des Sciences Politiques et Sociales d’Amiens. Equipe associée au CNRS (UMR 7319) depuis 1982, le CURAPP relève aujourd’hui des sections 40 (Politique, pouvoir, organisation), 36 (Sociologie, normes et règles) et 35 (Philosophie, histoire de la pensée, sciences des textes, théorie et histoire des littératures et des arts). L’équipe est composée d’universitaires de chercheurs CNRS, de doctorants et d’ingénieurs en science politique, droit, science de l’éducation, sociologie, philosophie qui contribuent de manière importante à l’ouverture et au dynamisme des recherches. Orienté à l’origine vers l’étude des fonctions de L’Etat dans les sociétés contemporaines, le Centre Universitaire de Recherches sur l’Action publique et le Politique, Epistémologie et Sciences Sociales couvre désormais un vaste ensemble de recherches en sciences politiques et en sciences sociales. Elles vont de l’étude des échelles de l’action publique (du niveau local au niveau mondial) à celle des formes de politisation, en passant par l’analyse de la production et des usages sociaux des savoirs et des normes.
Les chercheurs  du  CURAPP-ESS se sont regroupés autour de quatre axes de recherche à vocation pluridisciplinaire : Action publique ; Savoirs ; Normativités ; Liens sociaux et Politisations. Les membres du laboratoire sont impliqués dans l’animation et l’enseignement de plusieurs masters de spécialités recherche et professionnelle en science politique, sociologie, philosophie, sciences de l’éducation, droit.
Le CURAPP-ESS publie une collection depuis 1975 avec comité de lecture depuis 2002.

https://www.u-picardie.fr/curapp/

L’Institut des Sciences sociales du Politique (ISP) est une Unité Mixte de Recherche du CNRS n° 7220 implantée sur les campus de l’Université Paris Ouest – Nanterre La Défense et de l’Ecole Normale Supérieure de Paris-Saclay (anciennement ENS Cachan).
Rattaché à l’INSHS, l’ISP dépend de la section 40 du CNRS, à titre principal, et de la section 36.
Le projet scientifique à l’horizon 2018 se déploie selon quatre principales orientations thématiques :
•    droit, pouvoir, action publique,
•    production et appropriations des identités politiques,
•    conflits, sorties de conflit, mutations politiques,
•    circulation des hommes et des savoirs.
Ces quatre thèmes renvoient pour partie à l’héritage des axes du précédent quinquennal et aux termes qui résumaient alors l’identité de l’ISP dans le paysage de la science politique : démocratie, démocratisation, démocraties en conflit. Mais ils sont aussi et pour l’essentiel l’expression des mutations récentes.
Trois objets majeurs, qui ne se superposent pas tout à fait aux quatre thématiques annoncées mais les traversent, résument le projet : conflictualité, justice, mémoire.
Héritage d’une tradition de recherche largement partagée, à l’origine de la création de l’ISP, trois caractéristiques, distinguent enfin assez nettement le laboratoire dans le paysage académique.
L’ISP est d’abord marqué par une forte pluridisciplinarité, laquelle engage nombre de recherches interdisciplinaires sur des objets généraux transdisciplinaires (dont les conflits et les sorties de conflits, le droit et la justice, la mémoire et les identités politiques etc.).
L’ISP est également un laboratoire fortement internationalisé. Outre qu’il accueille un nombre non négligeable de chercheurs étrangers, il s’attache à déployer ses recherches, ses enseignements, ses réseaux dans un monde globalisé. Plus spécifiquement encore, nombre de chercheurs de l’ISP sont des spécialistes reconnus d’aires étrangères (Europe centrale et orientale, Russie, Amérique latine, Mahgreb, Afrique subsaharienne), appliquent leurs problématiques à des terrains étrangers (Allemagne, Grande-Bretagne, Tchad, Burundi, Afrique du Sud) ou analysent en tant que tels les mécanismes de la globalisation/mondialisation et de la circulation des hommes, des savoirs et des pratiques (recherches sur les institutions philanthropiques, sur les transferts Est-Ouest, sur les professionnels internationaux de la paix, etc.).
L’ISP est enfin un laboratoire dont tous les chercheurs conjuguent, quel que soit l’objet ou l’échelle d’analyse privilégiée, réflexion théorique et démarche empirique exigeante.

http://isp.cnrs.fr/

L’UMR 5206 Triangle. Action, discours, pensée politique et économique est un laboratoire CNRS, ENS de Lyon (rattachement principal), Université de Lyon2, IEP de Lyon, Université Jean Monnet Saint-Etienne, rattaché à l’INSHS, sections 35, 37 et 40 du CNRS. Le laboratoire a été créé au 1er janvier 2005. Ce « Triangle » dessine le lien entre les trois établissements lyonnais d’appui du labo, il rappelle que la constitution du labo a découlé de la décision de travailler ensemble exprimée par trois équipes (la FRE « Discours du politique en Europe, ENS LSH ; la FRE « Centre Walras » Lyon2, l’EA CERIEP, IEP) ; plus programmatiquement il désigne la volonté d’aborder ensemble trois aspects de la politique entendue au sens large du terme : l’action, le discours et la pensée politique et économique.
Le laboratoire Triangle est une UMR clairement pluridisciplinaire, regroupant à ce jour plus d’une centaine d’enseignants-chercheurs, 12 chercheurs CNRS (C.R. et D.R.), 29 enseignants-chercheurs associés, 114 doctorants ayant des compétences diverses (diverses disciplines : science politique, philosophie politique, histoire de la pensée politique et de la pensée économique ; diverses aires linguistiques : France, Italie, Russie, monde arabe, mondes anglo-américains et latino-américains).
La création de Triangle reposait sur l’idée que ce choix pouvait produire autre chose que la mise côte à côte desdites compétences et contribuer à l’avancée des connaissances dans le domaine de l’action et de la pensée politiques. Les 10 années d’existence du Laboratoire ont montré la productivité de cette hypothèse.
Le laboratoire est structuré en 4 pôles de spécialité : Action publique, Politisation et participation, Pensée politique et sciences sociales, Économie : histoire, institutions, société et 3 chantiers transversaux : PoliFormES (Politiques de la formation, de l’éducation et du savoir), Genre et politique, Humanités numériques.
Les mesures de fonctionnement établies par le Conseil de laboratoire ont pour fonction de permettre les initiatives de recherche à tous les niveaux : pôles, projets collectifs, projets individuels ou de petites équipes informelles (qui permettent bien souvent l’émergence de thématiques nouvelles de recherche), soutien aux doctorants (et plus généralement rôle dans l’enseignement au niveau master et doctorat), politique de documentation et d’édition (traditionnelle et en ligne). Les ITA jouent un rôle important dans cette perspective.

Les pôles qui structurent la recherche sont les suivants :
Action publique
o    Axe 1 : Savoirs, dispositifs et normes de gouvernement
o    Axe 2 : Santé et politiques
o    Axe 3 : Études urbaines
Politisation et participation
o    Axe 1 : Classes populaires, dynamiques de participation et de mobilisation
o    Axe 2 : Travail de représentation politique et syndical
o    Axe 3 : Les langages du politique
Pensée politique et sciences sociales
o    Axe 1 : « Philosophie politique, histoire de la pensée politique »
o    Axe 2 : « Philosophie des sciences sociales »
o    Axe 3 : « Sciences sociales et circulation des savoirs »
Économie : histoire, institutions, société
o    Axe 1 : Histoire de la pensée économique
o    Axe 2 : Philosophie économique
o    Axe 3 : Économie des institutions et économie sociale

http://triangle.ens-lyon.fr/