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L’Association Française de Science Politique cosigne et publie le 30 mars 2020 avec 25 autres sociétés savantes une lettre ouverte à Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, concernant les conséquences de la crise Covid19 sur les personnels et laboratoires de la recherche publique.
L’Association Française de Science Politique vous propose depuis le printemps 2020 une revue d’articles et de contributions publiées par des collègues politistes et chercheurs.ses en sciences sociales sur tous les aspects de la crise du COVID-19.
Le 1er janvier 2020, le GRAM est devenu un Groupement de recherche sur l’action multilatérale, structure labellisée et financée par le CNRS. Belle consécration pour ce GRAM-AFSP né en 2012 au sein de notre association puis porté en tant que GRAM-CERI à partir de fin 2015 au sein du Centre de recherches internationales de Sciences Po. Retour sur un parcours qui consacre la nécessité d’aller plus loin dans la promotion de la sociologie des organisations internationales et plus avant sur la recherche en matière d’action multilatérale.
L’Association Française de Science Politique partage les vives inquiétudes de la communauté scientifique quant aux projets relatifs à la future loi de programmation pluriannuelle de la recherche.
Jusqu’à la mi-juillet 2020, les politistes pourront profiter d’un accès libre à plus de 2400 ebooks en science politique et relations internationales sur le portail de l’éditeur Cambridge University Press. Présentation d’une opération menée par la bibliothèque de Sciences Po qui aboutira, à l’issue du test, à l’achat en pérenne de 110 ebooks, et cela au bénéfice de […]
Dans son dernier numéro (2019/5-6, vol. 69) la Revue française de science politique publie une chronique bibliographique « La théorie politique, entre dynamisme éditorial et fragilité institutionnelle » pour approfondir collectivement la question.
Partout en France, la mobilisation de la communauté scientifique s’intensifie pour que la future loi de programmation pluriannuelle de la recherche publique tienne compte de ses recommandations et des besoins réels de la recherche publique. Dans une tribune publiée le 14 janvier 2020 et signée par plus de 30 sociétés savantes dont l’Association Français de Science Politique, les scientifiques éclairent sur les enjeux du « temps long » et alertent les décideurs politiques sur leur responsabilité : redonner effectivement à notre recherche publique les moyens financiers, humains et organisationnels lui permettant de remplir et d’étendre ses missions.
Chercheurs et sociétés savantes s’inquiètent d’une possible diminution du budget que l’Union européenne allouera à la recherche et l’innovation pour la période 2021-2027. Ils viennent de publier en décembre 2019 une tribune dans Midi Libre dont l’Association Française de Science Politique est cosignataire.
Dans son dernier numéro à paraître fin septembre 2019 (vol . 69 n°4), la Revue française de science politique inaugure une nouvelle chronique bibliographique consacrée aux études européennes. Quelques mois après les élections européennes de mai 2019, en pleine actualité du Brexit, les recensions de 68 ouvrages parus essentiellement au cours des trois dernières années (2017-2019) témoignent de la vitalité des recherches sur la construction ou la déconstruction communautaires et sur les effets politiques, notamment partisans, de ces phénomènes. Une nouvelle chronique bibliographique qui donne aussi l’occasion de (re)penser collectivement la diversification des objets et la porosité des frontières académiques.
La section 04 du CNU publie son rapport 2019 qui présente les modalités de fonctionnement du Conseil national des universités (CNU) et les critères d’évaluation des dossiers de candidature soumis à l’appréciation de la section de science politique (section 04). Il dresse aussi le bilan de l’année 2019, quatrième et dernière année d’exercice de la mandature 2015-2019. Il s’adresse principalement aux personnes candidates à la qualification à la maîtrise de conférences (MCF) et au professorat (PR). Les données relatives aux candidatures et qualifications sont aussi susceptibles d’intéresser l’ensemble de la communauté des politistes en tant qu’indicateurs de certaines évolutions de notre discipline.