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Partis politiques en mutation (PARTIPOL)

Où en sont les partis politiques ? Quelles sont les modalités de leur transformation ? Qu’en est-il de la recherche sur cet objet autrefois considéré comme canonique ? Autant de questions que le groupe PARTIPOL ambitionne de remettre à l’ordre du jour de la discipline. Alors que l’intérêt institutionnel pour les formations partisanes semble avoir décliné en France ces derniers temps, les travaux demeurent nombreux et continuent de les explorer dans des directions renouvelées – qu’il s’agisse de questionner le désinvestissement militant, de repenser sociologiquement la dimension idéelle du phénomène partisan, d’interroger les usages numériques des partis, d’appréhender les formes les plus récentes de développement partisan ou de discuter la question de la fin des partis. C’est le produit de cette recherche chorale dont le groupe PARTIPOL souhaiterait pouvoir rendre compte, en recollectivisant les efforts déployés au niveau individuel par les chercheur.e.s et ainsi redonner corps et visibilité à un secteur actif de la recherche.

Co-responsables du groupe :

  • Carole Bachelot* (professeure de science politique, Université de Lille, CERAPS)
  • Raphaël Challier (docteur en sociologie politique, Université Paris 8, CRESPPA-GTM)
  • Alexandre Dézé* (maître de conférences en science politique, Université de Montpellier, CEPEL)
  • Florence Haegel (professeure de science politique, Sciences Po Paris, CEE)
  • Rémi Lefebvre (professeur de science politique, Université de Lille, CERAPS)

* coordinateurs du groupe

Contacts : 

Bachelot Carole carole.bachelot@univ-lille.fr
Dézé Alexandre alexandre.deze@umontpellier.fr

#SaveTheDate — Webinaire  « Le projet PPDB (Political Party Database) » (vendredi 15 mars 2024, 15h-17h)
Séance en visio consacrée à cette initiative transnationale visant à créer une base de données publique relative aux informations clés des organisations partisanes (statuts, ressources, processus de décision interne, etc.).
Intervenante : Émilie van Haute (Université Libre de Bruxelles/CEVIPOL)
Discutants : Simon Persico (Sciences Po Grenoble/PACTE), Florence Faucher (Sciences Po Paris/CEE)
Lien de connexion Zoom ici…

#SaveTheDate — Journée d’études « jeunes chercheur.e.s » de PARTIPOL (29 mars 2024)
Le groupe de recherche AFSP PARTIPOL organise une journée d’études « jeunes chercheur.e.s » le 29 mars 2024 à l’Université de Lille – CERAPS. L’occasion pour des masterant.e.s, doctorant.e.s, docteur.e.s, post-doctorant.e.s travaillant sur les partis politiques de présenter leurs recherches et de bénéficier d’un espace de discussion approfondie. 
En savoir plus…

Pourquoi constituer un groupe de recherche sur les partis politiques alors même qu’ils semblent plus que jamais sur le déclin ? Etiolement électoral, chute des effectifs militants, effritement des ancrages sociétaux, affaiblissement des fonctions traditionnelles… Les partis ne seraient plus ce qu’ils ont été, et leur extinction serait proche. Le constat n’est pas seulement repris par nombre de commentateurs et acteurs politiques, il est également partagé par certains des observateurs les plus avertis du phénomène partisan. « Il est possible que l’institution partisane puisse disparaitre progressivement », prophétisaient déjà Kay Lawson et Peter Merkl à la fin des années 1980 (1988). « Les transformations organisationnelles des partis ont été telles qu’on peut se demander si les partis, ce n’est pas fini », s’interrogeait plus récemment Ingrid Van Biezen (2014), tout en rappelant que le thème de la « fin des partis » avait été retenu pour l’édition 2013 du congrès annuel de l’Association britannique d’études politiques. Peter Mair conclut quant à lui dans son dernier ouvrage à la fin de la « démocratie de partis » : « Bien que les partis eux-mêmes demeurent, ils sont devenus si déconnectés de la société en général, poursuivant une forme de compétition tellement dénuée de sens, qu’ils ne semblent plus capables de soutenir la démocratie dans sa forme actuelle » (Mair, 2013). En somme, les partis ne seraient plus aujourd’hui que des « dinosaures institutionnels » (Webb, 1995), des « reliques du XXe siècle » (Gómez del Valle Ruiz, 2017).

À distance de ce type d’interprétation collapsologique (et du registre déploratif qui l’accompagne le plus souvent), le groupe de recherche « Partis politiques » (PARTIPOL) entend rappeler tout l’intérêt de maintenir une veille attentive à l’égard des partis. Non seulement en raison de leur étonnante résilience, mais aussi pour ne rien rater des mutations qu’ils connaissent depuis ces dernières décennies et qui continuent (heureusement) de faire l’objet de précieux travaux de recherche. Le travers présentiste d’un trop grand nombre d’analyses tend de ce point de vue à occulter le fait que, depuis leur apparition dans le courant du XIXe siècle, les organisations de parti n’ont jamais cessé de connaître de profonds changements. Qu’y a-t-il en effet de commun entre la définition très sophistiquée qu’en donne le gambettiste Jean-Jacques Weiss au tout début de la IIIe République (cité par Huard, 1996) et la définition considérablement épurée qu’en donne un siècle plus tard Giovanni Sartori (1976) ? De fait, que les partis se rapprochent aujourd’hui de l’État au détriment de la société civile (« parti-cartel » – Katz et Mair, 1995), qu’ils se vident de leur substrat social pour devenir davantage virtuels  (« parti digital » – Gerbaudo, 2019), qu’ils adoptent des formes d’organisation mouvementiste plutôt que bureaucratique (« parti-mouvement » – Kitschelt, 2006), que leurs frontières deviennent de plus en plus poreuses (Scarrow, 2014) ou qu’ils perdent leur dimension collective pour se centrer sur un leader (« parti personnel » – Calise, 2011 ; Kefford et McDonnell, 2018) ne signifie pas pour autant qu’ils sont en train de disparaître. À vrai dire, il est même possible de considérer que sur certaines dimensions, ils se sont plutôt renforcés (professionnalisation, financement, sélection du personnel politique, accès aux positions de pouvoir…). Ainsi, pour Piero Ignazi, les partis actuels seraient pris dans un rapport janusien entre certes, d’un côté, une illégitimité persistante et un affaiblissement de leurs forces électorales et militantes, mais aussi, de l’autre, un rôle toujours aussi prépondérant dans la structuration de la vie politique et une économie de fonctionnement consolidée (grâce aux ressources publiques). De la sorte, les partis ressembleraient aujourd’hui à « une sorte de Léviathan post-moderne quelque peu incohérent » : à la fois « puissant mais détesté, omniprésent mais discrédité » (Ignazi, 2014). Dans une perspective semblable, Rémi Lefebvre estime que les partis « sont à la fois dévitalisés et incrustés dans le jeu politique, désencastrés socialement et enkystés institutionnellement » (Lefebvre, 2018 : 2 et 10). En somme, les partis se maintiennent plus qu’ils ne disparaissent, ils s’adaptent et changent plus qu’ils ne déclinent.

Où en sont les partis politiques ? Quelles sont les modalités de leur transformation ? Qu’en est-il de la recherche sur cet objet autrefois considéré comme canonique ? En quoi les travaux les plus récents nous renseignent-ils plus largement sur les mutations de la vie politique contemporaine ? Autant de questions que le groupe « Partis politiques » ambitionne de remettre à l’ordre du jour de la discipline. Depuis la fin des activités du Groupe sur l’étude des organisations et partis politiques (GEOPP) animé par Hélène Combes et Julien Fretel, l’intérêt institutionnel pour les formations partisanes semble avoir été relégué au second plan. Pourtant, depuis le renouveau des recherches qui s’est manifesté à partir des années 2000 (Andolfatto, Greffet, Olivier, 2001 ; Haegel, 2007), les travaux restent assez nombreux (encore davantage dans la recherche anglo-saxonne) et continuent d’explorer le phénomène partisan dans des directions renouvelées – qu’il s’agisse de questionner le désinvestissement militant (Challier, 2021), de repenser sociologiquement la dimension idéelle du phénomène partisan (Bué, Fertikh, Hauchecorne, 2016 ; Cos, 2019 ; Rioufreyt, 2019), d’interroger les usages numériques des partis (Theviot, 2020), d’appréhender les formes les plus récentes de développement partisan (Lefebvre, 2018 ; Cervera-Marzal, 2021) ou de discuter la question de la fin des partis (Martinache, Sawicki, 2020) – pour ne citer ici que quelques illustrations parmi d’autres empruntées au cas français (pour une synthèse récente, voir également le Traité Larcier sur les partis politiques dirigé par Florence Haegel et Simon Persico à paraître en 2023). C’est le produit de cette recherche chorale dont nous souhaiterions pouvoir rendre compte tout en contribuant à sa coordination et à sa dynamisation. Nous proposons ainsi à travers ce groupe de recollectiviser les efforts déployés au niveau individuel par les chercheur.e.s pour faire progresser la connaissance sur les partis et, partant, de redonner corps et visibilité à un secteur actif de la recherche en science politique. Le groupe permettra également de réactiver des relations de collaboration avec les groupes de recherche déjà constitués au sein d’autres institutions, francophones (groupe de travail « Élections, partis et opinion publique » de l’Association belge francophone de science politique, par exemple) comme internationales (« Standing Group on Political parties » de l’ECPR, réseaux de chercheur.e.s RC 02 sur les élites politiques, RC 23 sur les élections, citoyens et partis politiques de l’IPSA). Dans cette perspective, les activités du groupe pourront s’organiser autour de différents types d’événements : séminaires permettant la présentation et la discussion de thèses et d’ouvrages récents ; conférences thématiques ; tables-rondes et sections thématiques lors des rencontres de la science politique et du congrès de l’AFSP.

  • 2-4 JUILLET 2024 / Section de groupe « Les transformations de l’engagement partisan » au 17e Congrès de l’AFSP à Grenoble
    Le groupe de recherche PARTIPOL lance un appel à communications pour sa Section de Groupe (SG) qui se tiendra lors du prochain Congrès de l’AFSP à Grenoble du 2 au 4 juillet 2024. Cette SG, pilotée par Carole Bachelot, Raphaël Challier, Alexandre Dézé, Florence Haegel et Rémi Lefebvre, se tiendra sur deux sessions de 2h chacune, avec pour thématique « Les transformations de l’engagement partisan ». La date limite de l’appel est fixée au 13 décembre 2023.
    Voir l’appel…

 

  • 29 mars 2024 / Journée d’études « jeunes chercheur.e.s » de PARTIPOL (29 mars 2024)
    Le groupe de recherche AFSP PARTIPOL organise une journée d’études « jeunes chercheur.e.s » le 29 mars 2024 à l’Université de Lille – CERAPS. L’occasion pour des masterant.e.s, doctorant.e.s, docteur.e.s, post-doctorant.e.s travaillant sur les partis politiques de présenter leurs recherches et de bénéficier d’un espace de discussion approfondie.
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  • WEBINAIRE 2023-2024 de PARTIPOL

Nous sommes heureux de vous annoncer le programme de nos deux premières séances de Webinaire (d’autres séances et d’autres manifestations à venir). Les séances se dérouleront par zoom. Un lien sera communiqué avant chaque séance.

Vendredi 15 décembre 2023, 9h00-10h30
« Les partis politiques en question(s). Débat sur l’état de l’art »
Autour de l’ouvrage collectif Partis politiques (Bruylant, 2024) dirigé par Florence Haegel et Simon Persico.
Intervenante : Florence Haegel (Sciences Po Paris/CEE)
Discutant : Michel Offerlé (ENS)
Webinaire coorganisé en partenariat avec le CEPEL (UMR 5112) dans les cadre du colloque des 40 ans du laboratoire.
Il se tiendra en présentiel avec l’ensemble des participants à l’Université de Montpellier (Amphi D, bâtiment 1, 1er étage) et en distanciel via zoom. Inscription obligatoire avec le code 652471 ici : https://umontpellier-fr.zoom.us/webinar/register/WN_OIa0b6tjT2OUKPNETG_4Ag

Vendredi 9 février 2024, 17h30-19h30
« Sociologie politique du Rassemblement national. Enquêtes de terrain »
Autour de l’ouvrage collectif dirigé par Safia Dahani, Estelle Delaine, Félicien Faury, Guillaume Letourneur
Intervenants : Safia Dahani (CESSP-EHESS), Guillaume Letourneur (CESSP)
Discutants : Nonna Mayer (Sciences Po Paris/CEE), Sylvain Crépon (Université de Tours)
Lien Zoom : https://sciencespo.zoom.us/j/92887815568

Vendredi 15 mars 2024, 15h00-17h00
« Le projet PPDB (Political Party Database) »
Séance en visio consacrée à cette initiative transnationale visant à créer une base de données publique relative aux informations clés des organisations partisanes (statuts, ressources, processus de décision interne, etc.).
Intervenante : Émilie van Haute (Université Libre de Bruxelles/CEVIPOL)
Discutants : Simon Persico (Sciences Po Grenoble/PACTE), Florence Faucher (Sciences Po Paris/CEE)
Lien de connexion Zoom ici…

Jeudi 30 mai 2024, 17h30-19h30
« Les partis politiques français et européens face aux élections européennes »
Autour de la politisation de l’enjeu européen par les partis politiques et des élections européennes passées et à venir (scrutin de juin 2024)
Organisateurs : Camille Kelbel (ESPOL), David Gouard (Université de Toulouse, CERTOP), Emilien Houard-Vial (IEP de Paris)
Intervenants : Laurie Beaudonnet (Université de Montréal), Emilien Houard-Vial (IEP de Paris)
Discutants : Camille Kelbel (ESPOL), David Gouard (Université de Toulouse, CERTOP) et les responsables de PARTIPOL.

  • JUIN 2023 / Modules lors des 3e RENCONTRES DE LA SCIENCE POLITIQUE – Sciences Po, Paris

Le groupe PARTIPOL organisera deux sessions dans le cadre de la 3e édition des Rencontres de la science politique qui se tiendront les 26 et 27 juin 2023 à Paris.

1ère session – lundi 26 juin 2023, 11h-13h
« Saisir les partis en mutation : quelles méthodes d’enquête ? »

Les partis politiques contemporains sont en mutation rapide, et ces transformations mettent à l’épreuve les méthodes d’enquêtes des chercheur.e.s qui prétendent produire des enquêtes empiriques originales. Quatorze ans après les journées d’étude de 2009 « Enquêter dans les partis politiques » qui s’étaient tenues sous l’égide de l’AFSP (groupes GEOPP et MOD, il paraît nécessaire de remettre cette réflexion sur le métier. La littérature sur les partis a longtemps été profondément clivée, entre des travaux privilégiant une approche « micro » ou « méso », usant de méthodes qualitatives (travail sur archives, entretiens, observations plus ou moins « ethnographiques ») et ceux, largement dominants dans la littérature anglophone, reposant sur des analyses comparatives et statistiques mobilisant de vastes bases de données. Mais ces outils méthodologiques et les débats qui en procèdent, fondés sur l’étude d’organisations hiérarchisées, aux frontières clairement délimitées, ont-ils encore lieu d’être ? Comment sont-ils appropriés et adaptés aux configurations changeantes des partis actuels ? Celles-ci posent à nouveaux frais la réflexion méthodologique liée à l’accessibilité des données (le dilemme entre approches « par le bas »/ « par le haut » est-il toujours pertinent ?), et plus généralement au choix de la stratégie de recherche et à la position du chercheur face à son objet (quid de l’observation participante ou de la prosopographie quand l’adhésion est réduite à un « clic » ?). De l’ethnographie multi-située (Mischi, 2012) permettant de suivre les militants dans les différentes scènes sociales qu’ils traversent (et donc dans leurs activités de loisir, familiales, professionnelles, etc.) à l’analyse lexicographique permettant de saisir l’appropriation différenciée de l’idéologie partisane chez les leaders et les militants (Chazel, 2021), en passant par l’analyse des échanges politiques en ligne entre sympathisants (Greffet, 2021), de nombreux travaux témoignent de l’inventivité et de l’imagination sociologiques suscités par ces nouveaux objets partisans.
Cette session a pour objectif de rendre compte des réponses apportées à ces défis méthodologiques par des recherches récentes, en valorisant les travaux réalisés par de jeunes chercheur.e.s, et en variant les terrains et les approches retenues. Cette session aura précisément pour objectif de rendre compte des réponses apportées à ces défis méthodologiques par des recherches récentes, en valorisant les travaux réalisés par de jeunes chercheur.e.s, et en variant les terrains et les approches retenues.

Avec les interventions de :
Vincent DAIN, doctorant en science politique, Université Rennes 1
Louise DALIBERT, docteure en science politique, Université de Nantes
Estelle DELAINE, Maître de conférences en science politique, Université Rennes 2
Félicien FAURY, docteur en science politique, Université Paris Dauphine – PSL

2e session – mardi 27 juin 2023, 16h-18h
Session commune avec le groupe de recherche « Science politique du numérique »
« Vers une digitalisation des organisations partisanes ? »

Depuis une trentaine d’années, les partis politiques font usage des technologies numériques. Cette session conjointe entre les groupes de projets « Science politique du numérique » et « Partis politiques en mutation » sera l’occasion de revenir sur les transformations organisationnelles liées à la digitalisation des organisations partisanes. Outre l’enrichissement par le numérique des répertoires d’action électorale, qui a donné lieu à une abondante littérature, les discussions pourront se focaliser sur les changements procéduraux engendrés par les usages du numérique, ainsi que sur les hypothèses relatives à leurs effets.
Ceci renvoie d’abord à la dématérialisation des adhésions, dont les conséquences sont discutées : donne-t-elle lieu à une baisse du coût de l’engagement et à un renouvellement des adhésions, ou bien les affiliés numériques sont-ils des militants comme les autres ? Dans quelle mesure le mode d’adhésion entraîne-t-il des recompositions de la relation entre direction des partis et implantations locales et, de façon plus indirecte, des formes inédites de militantisme et de rapport aux organisations ? Cela suppose ensuite de travailler la mise en œuvre de consultations et de décisions en ligne, ainsi que leurs conséquences sur la hiérarchie interne des partis, notamment en ce qui concerne la place du congrès comme espace central de la décision partisane. La notion de « parti plateforme » ou de « parti mouvement » semble ainsi récemment être intégrée au corpus des études organisationnelles des partis, sans toujours être reliée aux modèles antérieurs.  Enfin, la digitalisation des procédures partisanes entraîne l’émergence d’un personnel spécialisé dans la maîtrise technique des outils, la collecte et la gestion des données, et donc potentiellement une revisite des débats sur la professionnalisation du personnel politique et partisan qui gagne à être posée par l’ensemble des politistes intéressés par les partis.

Avec les interventions de :
Erica GUEVARA, maîtresse de conférences en sciences de l’information et de la communication, Université Paris 8
Marion JACQUET-VAILLANT, docteure en science politique, Université Paris-Panthéon Assas
Marie NEIHOUSER, post-doctorante en science politique, Université Catholique de l’Ouest
Fabienne GREFFET, maîtresse de conférences en science politique HDR, Université de Lorraine

Participent aux activités du groupe PARTIPOL :

Simon AUDEBERT, Sciences Po Paris
Julien ALLAVENA, CRESPPA-LABTOP
Pierre-Nicolas BAUDOT, Université Paris Panthéon-Assas
Morgane BELHADI, Université Sorbonne-Nouvelle Paris 3
Manuel CERVERA-MARZAL, FNRS
Sofyaine CHBARI, Sciences Po Paris
Hélène COMBES, CERI
Safia DAHANI, CESSP-EHESS
Vincent DAIN, Université Rennes 1
Louise DALIBERT, Université de Nantes
Estelle DELAINE, Université Rennes 2
Thierry DOMINICI, Université de Bordeaux
Félicien FAURY, Université Paris Dauphine
Phébie FONTAINE, Sciences Po Paris
Felipe FRELLER, CESPRA-EHESS/UFSCAR
Camille GELIX, Sciences Po Paris
David GOUARD, Université de Toulouse – Jean Jaurès
Ludovic GRAVE, Université de Lille
Ornella GRAZIANI, Università di Corsica
Emilien HUARD-VIAL, CEE
Marion JACQUET-VAILLANT, Université Paris Panthéon-Assas
Nicolas JARA-JOLY, CREA/CESSP
Camille KELBEL, ESPOL
Matthias LEVALET, Sciences Po Bordeaux
Michel OFFERLE, ENS-Ulm
Denis RAYER, CESPRA/EHESS
Frédéric SAWICKI, Université Paris 1

Informations bientôt disponibles

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